Tentative de blog

Le secteur de l'immobilier, de la construction et du bâtiment résiste plutôt bien à la crise. Et les très nombreuses manifestations qui ponctuent, à travers toute la France, le quotidien de ses professionnels, contribuent à cette vitalité et à ce bon moral.

Nombreux sont les très bons salons, les colloques de qualité, les conférences passionnantes qui réunissent chercheurs, professionnels, qu'ils soient architectes, ingénieurs, maîtres d’œuvre, de chantier, chefs d'équipe, ouvriers... et grand public. Encore faut-il en être informés !

Il existe en ligne de très bons portails consacrés à la thématique, qui tiennent à jour des agenda des salons du BTP. La plupart sont désormais orientés vers les problématiques environnementales, et explorent les possibilités qu'offrent les énergies renouvelables. Bref, les enjeux sont passionnants, alors renseignez-vous et déplacez-vous :-) !

Je viens encore vous parler lithothérapie : j'ai acheté récemment à ma femme, pour son anniversaire, un petit pendentif en ambre, et me suis à cette occasion penché sur les vertus de cette pierre.

Qui, en fait, n'en est pas une ! L'ambre n'est en effet pas un minéral, et s'obtient à partir de la fossilisation de la résine des conifères. Elle appartient donc à la liste des gemmes organiques. Elle a de tout temps été utilisée en art, par exemple en peinture (pour faire des vernis, des glacis), mais aussi, évidemment, en joaillerie.

Surtout, on lui attribue des bienfaits... solaires ! L'ambre attirerait les rayons du soleil et permettrait de réchauffer le corps et le cœur, elle aiderait ainsi à lutter contre la dépression et même, chez les jeunes enfants, contre les douleurs des poussées de dents... Mais le top, c'est tout de même ses couleurs : parfois jaune citrine, d'autres fois orange cuivré (ont dit alors "cognac") ou même rouge, l'ambre existe dans une palette de teintes plus belles les unes que les autres !

Nous sommes à J-3 avant le passage à une nouvelle année, et il est de coutume de se souhaiter tout un tas de bonnes choses à ce moment-là. Moi, depuis quelques années, à mes proches, mes amis, je souhaite invariablement la même chose : la sérénité.

Dans un monde qui va toujours à 300 à l'heure, la lenteur, le calme, sont des valeurs phares pour moi. Des incontournables, des essentiels. J'ai appris à toujours me réserver, quelles que soient les circonstances, des moments de paix. Et c'est en cherchant des moyens d'arriver à un état de détente que j'ai découvert quelques "accessoires" imparables : les huiles essentielles (lavande, ylang-ylang) et les pierres. Parmi ces dernières, je conseille souvent cette superbe pierre semi-précieuse bleue, le larimar. Pour faire vite, c'est une variété de pectolite qu'on ne trouve que dans les Caraïbes, en République Dominicaine précisément, et qui a des effets apaisants sur l'ensemble de l'organisme. On fait aujourd'hui de très jolis pendentifs en larimar.

Je vous souhaite donc une année 2014 sereine et zen... couleur bleu lagon !

Comme tout type d'éclairage, l'éclairage autonome a des avantages et des inconvénients. Parmi les avantages que l'on peut citer il y a celui de l'économie d'énergie et celui du respect de la nature et de l'environnement. Concernant les économies d'énergies, le lampadaire autonome évite aux collectivités de le raccorder au réseau électrique de la commune. Ainsi, la collectivité évite des frais de travaux et raccordement souvent très élevés car l'éclairage autonome nécessite un simple ancrage au sol pour fournir de la lumière. En effet, ils sont composés de panneaux solaires photovoltaïques qui récupèrent la chaleur des rayons du soleil pour la produire en énergie la nuit.

Pour que ce type d'installation fonctionne correctement et de manière intelligente, il faut avoir fait une étude très précise de l'ensoleillement de la zone que l'on souhaite équiper et de la surface nécessaire pour produire la quantité voulue de lumière. En effet, n'étant pas raccordé au réseau électrique, le lampadaire solaire doit avoir accumulé assez de lumière pour pouvoir la restaurer quel que soit le temps et l'heure de la journée. L'ensoleillement étant moindre en hiver il faut bien prendre en compte l'environnement proche avant de mettre en place son installation autonome.

Ce type d'éclairage va permettre également de mettre en lumière certaines zones reculées en campagne ou en montagne, qui sont souvent très difficiles d'accès, pour pouvoir les raccorder au réseau électrique classique d'une commune.

Respectueux de l'environnement, l'éclairage autonome ne rejette pas de CO2 dans l'air et limite la pollution lumineuse.

Les seuls inconvénients qu'on pourrait citer pour ce type d'éclairage concernent son coût et sa dépendance au soleil. En effet, les lampadaires autonomes sont plus chers que les lampadaires classiques mais permettent de faire d'énormes économies en terme de consommation. Cet investissement s'avère donc rentable sur le long terme. Le fait qu'ils soient totalement autonomes peut-être un frein pour certaines communes qui ne bénéficient pas d'un ensoleillement suffisant.

En tout cas, les fabricants d'éclairage public ont bien compris l'engouement que pouvait susciter ce type d'éclairage en ces temps de crise économique et de développement durable.

Parce que je suis passionné par les tendances dans l'immobilier, je m'intéresse bien évidement aussi à celles du secteur de la construction. Et parce que l'hiver arrive, je me documente en moment sur la question de l'isolation thermique.

Vous le savez peut-être, après les Grenelles de l'Environnement (1 et 2), la bonne isolation thermique des constructions neuves et la rénovation thermique des bâtiments existant sont devenus des priorités - elles sont les objets de la fameuse Réglementation Thermique. Mais savez-vous qu'en matière d'isolation, il existe un très grand nombre de matériaux ?

On les classe dans trois grandes catégories :

• Ceux qui sont conçus à partir de produits minéraux : laine de verre, laine de roche, perlite...
• Ceux qui sont issus de fibres végétales : chanvre et laine de chanvre, fibre de bois, paille, ouate de cellulose...
• Ceux, enfin, qui proviennent de produits de synthèse : polyuréthane, polystyrène sous forme expansée ou extrudée, ouate de polyester...

Chacun de ses matériaux présente des caractéristiques propres, des avantages et des inconvénients. Tout d'abord, leur efficacité, exprimée par un coefficient (R) de résistance à la chaleur, est variable. Ensuite, chacun est plus ou moins rare et onéreux. Enfin, pour chacun on trouve différents formats : en vrac, panneaux, liquides...

Et vous, vous savez comment c'est isolé, chez vous ?